The return... [ Attention propos explicites]

Un long mois était passé depuis le départ de l'amant d'Anastasia. Elle se mourrait sans lui. C'était la seule personne au monde à qui elle s'ennuyait et aimait tant. Elle avait l'impression d'être inninteressante lorsqu'il n'était pas là. Elle adorait tellment la façon qu'il avait de diriger le clan et surtout de la diriger elle. Oui, en tant que femme sadique elle adorait se faire dominer par son homme, en l'occurence: Ivan.
le soleil allait bientôt se levé et Anastasia s'était enfermée dans sa chambre après avoir eu un bon encas. Elle avait trouvé un bel homme dans un parc et il n'en fallut pas longtemps avant qu'il ne gîssent sur le sol. Elle portait un corset rouge et noir et une petite culotte en dentelle. Elle n'attendait personne en particulier, c'était tout simplement son habitude, elle adorait se faire désirer n'importe quelle heure de la journée. Elle était couchée sur le ventre et lisait un des vieux livres qu'elle préférait: Roméo et Juliette. Ça pouvait faire cul-cul mais dans son cas ce n'était aps vrai. Elle adorait juste le fait que l'homme se suicidai tout bonnement pour une simple mortelle... Et qu'ensuite elle se réveillait, pour mieux se suicider elle ausis par la suite. Vraiment, c'était le livre le plus drôle qu'elle avait jamais lu...

Un mois c'était écoulé depuis son départ de St-Petersbourg, un long mois loin de sa belle, mais de par son rang il devait se rendre dans ce coin reculé pour régler des affaires importantes et qui sans son intervention auraient sûrement dégénérer. Il avait du prendre les voix traditionnelles pour accéder à ce village, mais ce qu'il fallait faire devait être fait, et lui plus qu'un autre ne rechigner pas à faire ce genre de choses pour asseoir son pouvoir une fois de plus.
Il savait qu'elle s'ennuierait de lui, tout comme lui d'elle, mais pour sûr il savait aussi que sa merveilleuse maîtresse trouverait facilement une proie fragile qui ne soupsçonnerait pas un instant qu'une telle beauté angélique pouvait receler autant de cruauté et de sadisme. Cette pensée l'avait fait sourire plus d'une fois, et il ne lui en voulait pas de s'amuser sans lui, il ne pouvait la blamer après tout il était la raison de son ennui, et plus vite réglerait-il ce différent, plus vite pourrait-il retourner au près d'elle.
Après un mois d'absence, Ivan était enfin de retour dans la ville, les traits légèrement tirés par les heures de voyage, les nerfs à vif, et toujours cet impertubable air froid et distant le caractérisant si bien. Il n'avait plus qu'une idée, retourner au palais Stoganov et pousser les portes richement décorées de leur chambre, pour laretrouver. A peine approchait-il qu'il pouvait sentir son parfum si délicat, humant à plein poumons cette odeur si chère à son coeur, elle était là, oui, et n'attendait plus que lui. Et s'il pouvait la sentir, celà voulait bien entendu impliquer la réciproque, et cette pensée le fit sourire, finement certes, et oui c'était là une des très rares occasions où Ivan souriait, ne vous habituez pas! Il réservait celà pour une seule et unique personne, sa femme, la sublime Anastasia.

Cette odeur, elle aurait pu la reconnaître entres milles et à des centaines de kilomètres à la ronde. Ivan était revenu et il était même dans le château à quelque pas de sa douce. Un amour grandiose les unissait, ils était fous l'un de l'autre tellement que ça devenait dangereux parfois. Il était le seul qui pouvait lui faire faire nimporte quoi et n'imporete quand. Il était son maître et elle n'avait aucunement honte de celà. Un mois sans lui avait été très atroce et il ne tardait de le rvoir présent! Sans prendre plus de temps elle se leva, passa la porte et sauta dans les bras d'Ivan. Cet instant était vraiment rapide vut la rapidité que les vampires avaient.
Elle le poussa rageusement sur le mur et prit ses lèvres passionnément.( Quand on dit que l'amour fait mal ) Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que leur lèvres ne se rejoignent. Elles en profitèrent pour se goûter, un mois sans ça c'était inimaginable. Elles jouèrent un long moment avec l'autre comme un balai de langues éfrenées.
Anastasia mit fin à leur baiser en prenant bien soin de mordiller la lèvres inférieur de son mari.

Tu m'as manqué...

Alros, qu'allait-il faire maintenant? Anastasia sentait le désir monté en elle, mais elle ne lui en voudrait pas s'il ne voudrait que parler dû à l'épuisement....

A peine avait-il franchit le sueil de la porte d'entrée qu'il savait déjà qu'elle ne tarderait plus à venir à lui, celà ne restait qu'une question de secondes. Une fois en haut des escaliers menant au premier étage, donc à leur chambre, il eut à peine le temps de lâcher son sac qu'elle lui sauta au cou, et il l'enlaça fortement contre lui, comme s'il ne l'avait plus vu depusi des siècles. Il la laissa faire, la connaissant et appréciant au fond ces élans de violence. Il se laissa donc faire, plaqué contre le mur, ses lèvres rejoignant celles de son amour, prolongeant avec une intensité grandissante à mesure qu'il laissait ses mains parcourir les formes de sa belle comme s'il les découvrait pour la permière fois. Après un instant, bien trop court à son goût, ils durent cesser ce baiser incandescent. Il la regarda alors droit dans les yeux, lui caressant la joue doucement, son pouce effleurant ses lèvres.

" J'ai cru voir ça oui, toi aussi tu m'as manqué."

Il esquissa un fin sourire, presque invisible, puis la prit dans ses bras d'un geste vif et fort, la portant telle une mariée dans leur chambre, reprenant avec elle un nouveau baiser témoignant à son tour de combien elle avait pu lui manqué durant tout son voyage.

Anastasia frémissa de plaisir lorsqu'il éffleura ses lèvrse de son pouce. Ses paroles lui firent chaud au coeur et son sourire encore plus. Le sourire qu'il lui réservait à elle seule.... Elle se sentit soulevée dans les airs, il la portait comme elle aimait tanté Sa force la faisait vibrer et il fallait avouer qu'un mois sans relation avec lui était plus que pénible. Quand on le fait pratiqument chaque jour c'est un assez normal. Bref, i la transporta jusqu'à leur lit, la déposa délicatement et s'embrassèrent de nouveau. Elle savait qu'est-ce qu'ils allaient faire maintenant et elle était plus que ravi et prête pour ça. En plus, sa légère tenue pouvait laisser aller les imaginatins les plus tordues. Elle savoura de nouveau se long baiser, celui qui démontrait toujours leurs émotions. Jamais il ne s'était embrassés de la même façon, érpouvant toujours un nouveau sentiment ou ressentie différent... Elle laissa donc cours à des caresses appréciées sur le corps de son mari. Elle passa ses mains en dessous de son t-shirt et les passa sur chaque parcelle de son torse si musclés. Elle parcourait toute la découpe de ses formes avec le bouts de ses doigts et s'attarda plus longtemps sur les mamelon de son chéri, déjà durci de l'excitation...

Et comment ne pas être excité avec telle femme à ses côtés? Il est vrai que pour eux, éprouver chaque jour leur attirance n'était pas un problème, et même une chose incontournable pour ces deux là, et après un mois d'absence, les retrouvailles promettaient d'être digne de cette frustration.
Il la laissa donc faire, tandis qu'à son tour il laissait ses mains couvrir le corps magnifique de sa femme, encore et encore, effleurant son corset, faisant légèrement poussé l'ongle de son index, qui vint sectionner le lacet de son corset, quand il fit descendre sa main le long de ce dernier, révélant la poitrine de la jeune femme. Plongeant son visage au creu de son cou dans une myrïade de baisers ardents, il lui caressait le bas du dos comme seul lui savait y faire avec elle, la connaissant par coeur, qu'est-ce qui pouvait lui faire plaisir et ce qu'elle détestait (heureusement sur ce second point il n'y avait pas une longue liste), il faut dire que depuis tout ce temps passé ensemble, près de huit siècles, ils n'ignoraient plus grand chose l'un de l'autre. Glissant de son cou vers la naissance de ses seins, il posta ses mains de part et d'autre de son bassin, s'imissant doucement sous sa ravissante culotte en dentelle, parfaitement affriolante, comme il aimait la voir, désirable à tout instant, toujours prête à tout pour attirer son attention, nul besoin de celà en fait, le simple fait de la savoir près de lui suffisait....

Leurs corps se connaîssait par coeur et se complètait. Chaque caresse suffisait à rendre l'autre à l'extase. Ivan sectionna le lacet du corset de sa belle pour laisser apparaître sa poitrine parfaite et surtout sa peau douce comme de la porcelaine. Encore un autre vêtement détruit de leur amour sauvage, une chance qu'elle en avait des centaines... Anastasia frissona de nouveau lorsqu'il lui embrassa le cou et força ses caresses dans le bas de son dos. Il savait toutes ses zones érogènes se qui rendait leurs ébats plus que parfait. Son corps entier s'arqua de plaisir lorsqu'elle sentit ses doigts en elle. S'en suivit bien sur un long gémissement de sa part. Il joua longuement en elle procurant du plaisir fou à sa femme. Enfin après un moment, Anastasia donna un coup de hanche et se retrouva au-dessus de son chéri.
Ses lèvres joignirent de nouveau les siennes, mais cette fois-ci le baiser était plus féroces et beaucoup plus impatient. Ils avaient irrédiablement envie l'un de l'autre. Anastasia déboutana lentement sa chemise le forçant à le faire languir. Elle embrassa chaqpe percelle de son corps jusqu'à aller déposer un doux baiser sur l'intimité déjà gonflé de son amant. Elle se débarassa alors plus rapidement de son pentalon et envoya valser son caleçon. la vampire pouvait enfin passer aux choses sérieuses.
Elle déposa de nouveau u baiser sur sa verge découverte. Elle passa alors sa langue tout le long de son pénis pour lui rendre la monnaie de sa piece! Dans leur couple, ça fonctionnait toujours 50-50, et il lui avait donné du plaisir. Bref, elle le saisit d'une main et l'avala entièrement suivit de longs va-et-viens...

Trois siècles et plus d'un amour passionnel et fusionnel, bien sûr qu'ils connaissaient le corps de l'autre comme on connaît le dos de sa main. Il couvrait le corps de sa femme d'un millier de baisers tandis que sa main elle s'affairait à lui procurer le plus de plaisir possible en s'infiltrant au plus profond de son intimité, largement facilité par l'abondance de son doux liquide chaud et sucré. Tout en descendant il arrivait à sa poirtine, ferme et douce comme la soie. Il l'embrassa avidement, léchant chaque centimètre de sa peau d'albâtre, lui mordillant légèrement puis plus violemment les tétons, durcis comme de la pierre par le plaisir qu'il engendrait en elle de son doigté expert. Sa chair était ferme, comme un tendre fruit, le fruit défendu qu'il aimait tant à croqué sans jamais être comblé pour toujours en vouloir plus.
Puis comme coupé dans son élan, il la sentit tout faire pour prendre le dessus, et il la laissa faire, se retrouvant alors sous elle, point de vue largement apprécié par Ivan, sans nul doute. Il esquissa ce sourire si rare, spécialement réservé pour elle, et vint lui aussi l'embrasser avec fougue et envie. Il se rallongea complétement quand elle commença à l'embrasser un peu partout, le déshabillant comme elle savait si bien le faire pour lui faire monter la pression. Impatiente comme toujours, elle lui retira le reste de ses vêtements, lui témoignant bien qu'elle n'en pouvait plus d'attendre et qu'elle tenait à lui rendre la pareille. Il ferma les yeux, la laissant faire, respirant plus fort à mesure que les gestes de sa femme ne pouvait que lui faire du bien, un bien immense. Im serrait le poing tandis que l'autre main lui caressait les cheveux doucement, lui témoignant toute la reconnaissance possible de lui faire tant de bien.

[ Désolé, un manque d'inpiration soudain...]

Il était certain qu'Anastasia savait comment s'y prendre avec son époux. Elle continuait donc ses va-et-viens en accélérant de plus en plus la cadence. Elle sentait bien que celà portait ses fruits et qu'il ne tarderait pas à répendre le fruits de son plaisir. C'est donc à ce moment là qu'elle redoubla d'ardeur, voulant lui faire profiter un maximum. Comme elle s'en attendait, Ivan se déversa dans sa bouche, et elle avala sa semance non-sans désir extrême. elle passa même sa langue au coin de sa bouche, ne voulant perdre aucune partir de sa jouissance, tant appréçier. Elle remonta de nouveau vers sa bouche, non sans oublier de laisser un baiser en remontant vers la partie désirée. Elle s'attarda elle aussi sur les tétons de son mari, comme il l'avait fait auparavant avec elle. Elle les titilla avec sa langue les mordillants au passage. Eux aussi était durcis, et l'Excitation que ça lui procurait ne tarda pas à refaire surface.
Elle remonta donc jusqu'à ses lèvres jumelles, et l'embrassant encore une fois beaucoup langoureusement qu'avant. Ce fesant, elle plaça son orifice juste au-dessus de sa verge dressé. Elle s'empala en lui d'un seul coup, éprouvant un plaisir immédiat, elle lâcha ses lèvres et lança un crit de jouissance extrême. Elle commença alors de longs-va-et-viens, s,enfonçant de plus en plus en lui.

[Je trouve pas moi lol]

Tout vampire qu'il était, il restait un homme sensible à ce genre d'attention de la part de sa femme. Et même très sensible. Il témoignait d'ailleurs tout son plaisir en soupirant fortement, son souffle entrecoupé de gémissements rauques. Et vint un moment où il ne put réprimer le plaisir qui s'emparait de son être et il laissa aller la nature, déversant un flot blanc en elle, l'ivresse du plaisir le submergeant dans un gémissement intense et sonore. Une fois la pression évacuée, il se redressa un peu, la regardant faire, s'essuyer la bouche avec sa langue, toujours aussi provocante et terriblement désirable dans chacun de ses gestes. Puis elle commença à remonter vers ses lèvres, s'amusant à jouer à son tour avec ses tétons, il se recoucha en plaçant ses bras sous sa nuque, savourant comme il se devait les caresses de son épouse. Arrivant à ses lèvres, il la saisit à la nuque, la serrant contre lui, prolongeant ce torride baiser avec toute l'ardeur qui l'habitait à ce moment très précis.
Quand elle prit l'initiative de commencer les choses sérieuse, il ne put qu'apprécier, placant ses mains de part et d'autre de ses hanches si féminines, et la serra contre le sien, s'introduisant en elle avec plus de ferveur à chaque nouveau coup de reins qu'il lui asénait. Il se redressa un peu, venant se coller contre elle, embrassant avec une furieuse envie ses seins si parfaits.

Anastasia appréçiait le corps de son homme sous toutes ses coutures. Plus ses déhanchements étaient rapides plus les coups de reins d'Ivan enraient profondément en elle. Leurs deux corps étaient soudés l'un contre l'autre adorant la chaleur de l'autre. Sous l'effet du plasir et de l'excitation extrême elle ne pouvait s'empêcher de lâcher quelques cris l'un plus fort que les autres. Pour courroner le tout il vena embrasser ses seins, zones plus qu'érogènes chez notre belle vampire. Ses mains étaient posées sur ses hanches l'aidant ainsi lors des vas-et-viens, elle se laissait faire pour combler tous les besoins de son chéri. Ils contimuèrent leurs ébats durant un long moment, profitant de l'autre un maximum. Anastasia était à la porte du septième ciel. Il savait comment lui donner un orgasme digne du dieu de l'amour.
Les derniers coups de reins redoublèrent d'ardeur et de gémissements. Ils finirent par jouirent à l'unissont, mélangeant le flot de leur amour. Il se retira se son intimité et elle se laissa tomber sur lui. Elle adorait ses moments ou elle était collé contre lui, ou elle le sentait respirer... Elle ajouta alors dans un murmure:

«Je t'aime...»

Il l'avait de suite ressentit quand son chemin avait croisé le sien il y a de celà plus de huit siècles, elle était la pièce qui lui manquait pour être entier, son double, celle qui lui était destinée. PAs étonnant alors qu'ils soient si proches et ce quoiqu'ils fassent, au lit comme ailleurs, souvent aucun mot n'était utile pour qu'ils se comprennent, un regard, un sourire ou un simple geste, leur langage à eux, incompréhensible par les autres, mais connu sur le bout des doigts par le couple de vampires. Il avait appris à connaitre chacun des points sensibles de sa compagne comme elle en avait pu, et chaque nouvel ébat gagnait alors d'intensité, une autre façon de faire, un autre endroit, ils ne se laissaient alors jamais l'un de l'autre, bien au contraire.
Ils ne s'épuisaient jamais donc, mais il fallait bien à un moment ou un autre que le corps stoppe là leur étreinte, et comme à chaque fois ce moment coincida avec le paroxysme de leur plaisir à chacun, leur cri se mêlant dans une mélodie presque synchronisée. Il la serra ensuite contre lui, sur son torse viril et parfaitement sculpté depuis le temps. Il lui lui effleura la joue doucement, plongeant son regard sombre et envoutant dans le regard délicieux et remplit d'amour de sa femme, déposant un baiser au creu de ses lèvres.

" Je t'aime comme un fou Anastasia, ne l'oublie jamais "

On pouvait lire dans son regard tout l'amour qu'il portait à cette femme, à sa beauté et à son corps, il pouvait traquer un siècle celui qui lui ferait du mal de quelque manière que ce fut, mais jamais il ne laisserait quelqu'un impuni pour avoir offenser son épouse.

C'était inimanaginable comment leur amour était fort. Il serait très normal qu'après plus de 700 ans de vie commune qu'on aille envie de nouveauté dans tous les sens du terme. Mais avec se couple si unis, ce n'était pas le cas! Il s'aimait plus que tout malgrès se que les autrs pouveaint en pesneré Ce n'était aps parce qu'ils couchent avec d'autres personnes qu'ils se détestent. De toute façon tout le monde est au courant, les créatures de la nuit on une libido assez évidente, c'est pourquoi ils assouvissent leurs envies sans pour autant aimer l'autre. En somme, ils ne se sont jamais tromper, puisqu'ils n'ont jamais rien ressentis pour un autre personne qu'eux.
Les mots qui sortirent de la bouche de son chéri lui fit extrêmement chaud au coeur. Oui, elle savait qu'il l'aimait comme au tout premier jour, sinon plus, mais elle adorait qu'il le lui disent. Lui qui était habituellement si froid avec quiconque, était tout le contraire juste avec elle. Elle savait aussi qu,il la protégerait de tous, comme elle le ferait avec lui. Ils étaient voués à un amour infini et jamais ils ne se sépareraient.
Soudain, Anastsai se rendit compte qu'elle commençait à avoir assez faim... Et il fallait dire que leurs nuits de chasse lui manquait aussi bien que tout autre chose... Mais elle se rapella aussi qu'Ivan devait être fatigué...

«Est-ce que tu veux aller te nourrir ou tu préfères te reposer?»

Peut importe le choix qu'il ferait, elle resterait à ses côtés. Sa faim pouvait largement attendre!

Oui, même si chacun allait voir ailleurs, aucun n'avait jamais ressentit ne serait-ce qu'une once de sentiment pour la personne essuyant leur lubricité. Hélas, il y avait toujours un point noir, Nikita, mais bon, il ne quietterait jamais Anastasia, il l'aimait trop pour ça, il venait simplement à regretter que la jeune femme ne comprenne pas celà et lui tourne toujours autour.
Une chasse? Comment refuser une partie de chasse avec sa femme, une chance d'assouvir ses instincts les plus vils et sanglants. La fatigue, il pourrait dormir demain et les autres jours. Il lui sourit et remit une de ses longues mèches de cheveux derrière son oreille puis lui sussura à l'oreille:

" Allons chasser, il y a longtemps que je ne t'ai plus vu utiliser tes charmes pour les faire tomber comme des mouches, ça me rapellera le bon vieux temps quand nous vivons d'amour et de sang frais. "

Oui, au début ils n'étaient pas si riches et ils se cachaient dans des bouges, mais la présence de l'autre suffisait pour être heureux, alors bon, vivre dans un taudis était secondaire.

Anastasia lui envoya un merveilleux sourire lorqu'il lui disa qu'il voulait chasser. C'était vrai que ça faisait un bon bout de temps qu'ils n'y étaient pas allés ensemble et ça lui manquait! Tout n'était pas si coquet à leurs débuts, la vie étaient beaucpup plus difficile auparavant, mais tant qu'il sétaient côtes à côtes, tout se passaient à merveille. Alors, elle se leva d'un bon et partit dans leur immense garde-robe à la recherche de la parfaite parure. Ça faisait longtempps qu'elle n'avait pas été aussi excité que ça. Elle avait toujours un grand sourire affiché sur ses lèvres et tandis qu'elle cherchait ses habits elle ne put résister de lâcher en riant:

«Oh, mais toi aussi tu en fait tombé plus d'une chéri! Ne fais pa sl'innoncent tu t'es regardé au moins?»

Elle fini par trouvé se qu'elle recherchait: un pentalon moulant en cuir noir, et une jolie chemise bourgogne qui lui faisait ressortir son teint et mettait sa poitrine en valeur. Elle enfila aussi de longues bottes pointues, aussi en cuir noir pur agencer correctement son habit. Elle ressortit du lacard et se jeta de nouveau sur Ivan.

« Alors comment me trouves-tu?» Et avant même qu'il n puisse répondre elle se jetta sur ses lèvres. Elle joua loguement avec ses lèvres avant de forcer le mince barage qui séparait leurs deux langues. Elle était assise à califourchou et se baiser donnerait fortement envie de recomencer ce qu'il avait fait quelques minutes auparavant... Surtout qu'il était déjà nu... Mais bon il fallait avouer qu'Anastasia commençait vraiment à avoir faim... Elle donnerait des envies à son chéri! Pauvre chou! Elle se sépra de leur étreintes et ajouta: «Tu sais que l'envie ne manque pas, mais là j'ai vraiment besoin de sang... Tu vas te préparer?» Ces derniers mots sonnaient un peu enfentin. Elle essayait de changer de sujet en gros...

Ivan était conscient de l'impact qu'il pouvait avoir sur les femmes, déjà au paravant, mais le charisme ajouté de son état de vampire était une arme des plus redoutables, et nombreuses étaient les femmes ayant perdu la vie en pensant finir dans son lit. Celà le faisait toujours autant rire, les premiers temps les femmes avaient peur, mais voyant les bonnes manières d'Ivan, se laissaient bêtement bernées, ne soupsçonnant pas l'immensité des ténèbres habitant dans le corps de cet homme... Il la regardait farfouillé dans leur garde robe, assis sur le lit, ne prenant pas la peine de se rhabiller à son tour.

" J'ai un certain succès avec la gente féminine, je te le concèdes. Mais aucune n'a pu prétendre une seconde prendre ta place dans mon coeur. "

Il la regarda s'habiller, elle avait toujours autant de goût pour ça, toujours parfaitement mise en valeur, ses seins, ses courbes, sa peau... Dieu ce qu'il pouvait en être fou, fou à lier oui, plus qu'il ne l'était déjà dans son état normal.

" Sublime comme toujours, nue comme habillée, tu es la plus belle des femmes. "

Il répondit après leur langoureux baiser, elle ne lui avait pas laisser le temps avant de pouvoir répondre que déjà leurs lèvres se retrouvaient pour encore se témoigner leur envie. Lui aussi sentait bien ce que pouvait penser Ana, mais il savait aussi qu'elle ne serait pas tranquille tant qu'elle n'aurait pas pu chasser.

" J'irais bien m'habiller, mais pour celà il faudrait d'abord que tu quittes mes genoux ma belle, à mon grand regret, mais une fois que tu auras manger, rien ne nous empêches de remettre le couvert, autant que tu voudras. "

Il plaisantait, mais pas tout à fait, il est vrai que tant qu'elle serait sur lui, il aurait le plus grand mal à pouvoir s'habiller.

Et une fois de plus Ivan lui faisait maintes confidences qui rendait sa belle plus joyeuse qu'elle ne l'était. Elle aussi se rapelleait d'une vampire nommé Nikita qui prétends toujours avoir une place pour elle dans son coeur. À croire qu'il faudra l'interner si celà continuait... Oui mais l'interner ou? Même aucun hôpital n'accepterait cette mégère! Elle éprouvait un amour fou envers son créateur alors que lui, il ne la portait aps plus près dans son coeur que n'importe quelles femmes.
Il fallait aussi avouer que le coprs de la vampire avait tou pour faire baver la gente masculine, aucun, mais vraiment aucun défauts ne trônaient sur son corps de rêve.
Anastasia avait toujours apprécier l'humour plus que particulière de son vampire. Il était vrai qu'ils n'avanceraient pas plus loin si elle restait assiese sur ses genoux... Quoiqu'il aurait bien pu la déplacer s'il l'aavait voulu! Il était bien plus fot qu'elle et, au poids qu'elle pesait, il la transportait toujours quand il en avait besoin. Elle redéposa un baiser rapide sur ses lèvres avant de se tasser à ses côtés, pour finalement le regarder aller se changer... Enfin, quand il furent prêt, ils partirent à la quête d'un endroit ou eux deux pouraient satisfaire leur envie...

[ailleurs]